L'auto entrepreneur doit-il souscrire à une assurance pour protéger ses clients contre le risque de non-exécution de la vente ou de la prestation ? Telle est la question. Essayons d’y répondre.
Le régime auto-entrepreneur, qu'on appelle désormais micro-entrepreneur, facilite la création d'une activité professionnelle indépendante. Il permet par exemple de tester la création d'une entreprise à peu de frais et / ou tout en gardant son activité salariée. Il présente donc de nombreux avantages qu'ils soient juridiques, fiscaux ou encore comptables. Cependant certaines limitations ont été prévue ...
L'auto entrepreneur doit-il souscrire à une assurance pour protéger ses clients contre le risque de non-exécution de la vente ou de la prestation ? Telle est la question. Essayons d’y répondre.
Encore appelée auto-entreprise, la micro-entreprise est un statut juridique qui présente de nombreux avantages pour les entrepreneurs qui en font le choix. Avec ce régime, ces derniers peuvent entre autres bénéficier d’un certain nombre d’allègements comptables et fiscaux. Si vous êtes auto-entrepreneur et cherchez à savoir si ce statut vous permet de déduire des charges, cet article devrait vous intéresser.
Tout grand entrepreneur passe par un chemin plein d’apprentissages pour réussir. Cependant, il y a 10 erreurs à éviter en tant qu’auto-entrepreneur et qui marquent un changement clé dans la façon dont votre entreprise se développe.
L’indépendance est un confort que tout le monde cherche, surtout dans le domaine du commerce. Vouloir créer une entreprise ne veut pas forcément dire qu’il faut avoir des employés. On peut très bien monter sa propre entreprise seul, mais cela dépendra du type d’activité. C’est pour cette raison qu’un statut a été créé pour représenter ce genre de chef d’entreprise, appelé auto entrepreneur. Ce statut juridique entoure ce dernier de certaines conditions qu’il doit connaître, afin d’en assumer les conséquences sans surprise, et ainsi, fructifier son activité dans un cadre bien défini.
Au nombre des assurances professionnelles que doit souscrire une société, notamment sous le régime de la microentreprise, figure l'assurance décennale. Il s'agit d'une assurance prévue dans l'article L1792-1 du Code civil qui est obligatoire. Toutefois, seulement certains corps de métier sont concernés par cette obligation. C'est d'ailleurs pour cette raison que l'utilité d'un tel contrat soulève de nombreuses interrogations. Pourtant, l'assurance décennale revêt une grande importance pour divers professionnels, peu importe les exigences de la loi.
Vous souhaitez devenir micro-entrepreneur en 2021? Voici le guide complet sur la micro-entreprise. Dans cet article nous allons parler des avantages à être micro-entrepreneur, comment s’inscrire, combien coûte les charges et comment les payer, comment déclarer votre chiffre d’affaires.
Les auto-entrepreneurs ne sont pas obligés de souscrire à une mutuelle. Cependant, avoir une complémentaire santé est conseillé pour maîtriser ses dépenses de santé, qu’elles soient prévues ou imprévues.
Depuis le 1er janvier 2015, les auto-entrepreneurs ont l'obligation d'ouvrir un compte bancaire dédié à leur activité professionnelle.
Il existe en France plusieurs banques qui se proposent d’accompagner les auto-entrepreneurs. Le choix de « sa banque » n'est donc pas une chose aisée dans ces conditions. Cependant,vous avez besoin d’un compte auto-entrepreneur pour la gestion des opérations relatives à votre activité.
Qu’en dit la loi ? Quelles sont vos obligations ? Est-il utile d'ouvrir un compte professionnel ou personnel ? quelle banque choisir ? Comment choisir sa banque ? Quelles sont les meilleures banques ? Nous répondons à toutes ces questions dans la suite.
Avec la mise en application du prélèvement à la source et du droit au chômage pour les indépendants, l’année 2019 a été riche en changement pour le régime autoentrepreneur ou microentrepreneur. Cette année 2020 promet encore plus de nouveautés. Les détails.
Le statut d’auto entrepreneur regorge d’opportunités pour les actifs qui souhaitent découvrir de nouveaux horizons professionnels ou qui tentent de se reconvertir. Il est très aisé de créer une auto-entreprise, de mettre fin à son activité et d’assurer la gestion de cette structure au cours de son existence. De quoi s’agit-il exactement, quels sont les atouts de la micro-entreprise et quelle réglementation s’y applique ? Parcourez cet article pour en apprendre davantage.
Vers quel statut juridique s'orienter pour lancer son activité indépendante ? Si le très accessible régime micro-entrepreneur (anciennement "auto-entrepreneur") jouit d'une grande popularité chez les nouveaux venus, il ne faudrait pas oublier l'existence d'un autre statut, également adapté à une entrée dans le monde de l’entrepreneuriat : le portage salarial ! Pour compliquer un peu plus les choses, portage salarial et micro-entreprise sous tous deux victimes d’idées préconçues plus ou moins fondées qui n’aident pas à faire un choix. Dans cet article, nous vous proposons de détricoter le vrai du faux pour vous aider à choisir en votre âme et conscience !
Pour cesser une activité de micro-entreprise, les formalités sont assez légères et proches de celles réalisées lors de la déclaration de début d’activité. L’entrepreneur ayant choisi d’exercer son activité dans le cadre du régime de la micro-entreprise (ex-autoentrepreneur) est en fait un « entrepreneur individuel » pour la loi. Pour rappel, le régime de la micro-entreprise est adapté à des projets de petite dimension, pour tester un concept ou un produit, ou pour des activités complémentaires à un emploi salarié.
Autoentrepreneur jusqu’au 31 décembre 2015, micro-entrepreneur depuis le 1 er janvier 2016. Ce régime a été imaginé dès son origine pour faciliter la création d’entreprise en France. Contrairement aux sociétés dont les fondements sont des statuts juridiques, il faut bien se rappeler que la micro-entreprise n’est pas une forme juridique. Il s’agit d’un régime fiscal et social dérivé de la forme juridique de l’entreprise individuelle.
Les auto-entrepreneurs doivent désormais dédier un compte bancaire à leur activité professionnelle et ce à partir du 1er janvier 2015. Cette modification est presque passée inaperçue et pourtant elle est déjà obligatoire depuis 7 jours.
L’auto entrepreneur doit parfois faire face à des difficultés passagères dans la gestion de ses finances, le regroupement de crédit permet de réduire la part mensuelle des charges de crédits. Explications.
Les grandes lignes du projet de loi portant réforme du régime auto-entrepreneur ont été récemment dévoilées. Quels sont les changements ? Essentiellement une baisse des plafonds des chiffres d'affaires au-delà desquels, les entrepreneurs devront quitter le régime !
L’auto-entrepreneur, régime créé en 2009, c’est plus de 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires cumulé et plus de 600 millions euros de recettes fiscales. Assez positif comme bilan. Ce régime a été mis en vedette fin 2011 dans le rapport de McKinsey&Company publié lors du G20 YES (Young Entrepreneur Summit) comme un atout majeur pour la promotion de l’entrepreneuriat et c’est la mesure du quinquennat Sarkozy que les Français préfèrent (à 73%). Tout a été dit ou presque sur ce régime mais quelle est la réalité ?
Depuis quatre ans, le statut d’auto-entrepreneur rend la création d’entreprise accessible à tous, ce qui permet de tester des idées et/ou percevoir un complément de ressources. Voici un point sur les changements 2012 du statut auto-entrepreneur.
Parmi les nombreuses formes que vous pouvez choisir pour créer votre entreprise, auto-entrepreneur est l’une d’entre elles. Elle présente de nombreux avantages, mais aussi des limitations. Pour mémoire, loin d’être en perte de vitesse, la création d’entreprise au régime de l’auto-entrepreneur a représenté au premier semestre 2011, 6 entreprises sur 10.
Avant toute chose, il convient de rappeler ce qu’est un auto-entrepreneur.
Jusqu’en 2009, créer son entreprise en France restait complexe sur le plan administratif. Le nouveau statut d’auto-entrepreneur rend désormais la création d’entreprise accessible à tous, ce qui permet de tester des idées et/ou percevoir un complément de ressources.
Plus de 600 000 personnes se sont déjà lancées et ont créé leur auto-entreprise … Alors pourquoi pas vous ? Effectivement, pourquoi pas vous ? C’est tellement simple de créer une auto-entreprise, pas plus de 10 minutes sur Internet : www.lautoentrepreneur.fr Et après … On fait quoi ?
Le cas de la CFE (partie foncière de la nouvelle Contribution Economique Territoriale) a fait beaucoup parler, fin 2010, du régime de l’auto-entrepreneur. Le Parlement a finalement adopté l'amendement exonérant de CFE pendant les trois premières années d'activité tous les auto-entrepreneurs, quelque soit leur régime fiscal. Mais d'autres modifications sont aussi passées. Elles sont reprises dans deux lois majeures : le projet de loi de Finances pour 2011 et la loi de financement de la sécurité sociale pour 2011.
Le régime de l'auto-entrepreneur est né il y a presque deux ans et a su convaincre nombre d'entrepreneurs. Mais en apportant aux Français une réforme de plus, Hervé Novelli s’exposait, comme tant d’autres avant lui, à un risque majeur : celui de l’échec. L’idée était brillante certes, mais suffisamment novatrice et libérale pour déranger, dans leur vie paisible, quelques acteurs jusqu’alors incontournables et incontournés du paysage économique français.
Sortez de la télé-réalité pour entrer dans la vraie vie !
Mi 2009, la statistique indiquait qu’une majorité d’auto entrepreneurs n’avaient pas déclaré avoir réalisé de chiffre d’affaires dans leur premier trimestre ou semestre. Comme beaucoup, j’ai été très surpris par ce chiffre. En effet : À quoi sert-il de déclarer une activité s’il n’y a pas activité ?
Ce n’est pas parce-que c’est simple facile et apparemment sans conséquences que vous devez vous précipiter et faire n’importe quoi n’importe comment.
Si le statut de l’auto-entrepreneur présente beaucoup d’avantages : inscription rapide sur internet, déclarations simplifiées, charges fixes établies d’avance et payables lorsqu’il y a prestation, possibilité de cumuler cette activité en complément d’un autre revenu (salariés, retraités, demandeurs d’emploi …), prise de risques limitée voire quasi nulle …Il ne faudrait pas en oublier l’objet même de ce nouveau statut. Celui-ci a en effet pour vocation de vous amener à tester votre projet pour ensuite, dans un second temps, CREER votre ENTREPRISE ; c’est en tous cas, l’ambition du Gouvernement …
Avec le statut d’auto entrepreneur un créateur peut rapidement et sans grands risques créer son activité.
Le statut d’auto-entrepreneur c’est aussi un laboratoire d’essai, voir si l’on peut aller plus loin et si l’on veut aller plus loin c’est mieux…
Aussi pendant toute la durée de son projet penser à la vision de celui-ci afin de le nommer…il faut penser en amont à la création du nom de sa structure qui pourra aussi faire office de marque, ce nom sera le plus souvent la seule et unique porte vers l’extérieur sous forme de site internet notamment pour le e-commerce ou pour présenter ses activités, son savoir faire, ses compétences.
Ça y est, vous avez décidé de vous lancer.
Vous avez choisi le statut auto-entrepreneur pour le faire à moindre frais, moindre charges, moindre complexité.
Avec ce statut, en apparences, n'importe qui peut créer son activité rapidement, facilement, simplement.
Le rêve est enfin accessible à tous.
D'ailleurs, les idées ou opportunités qu'on vous propose n'ont jamais autant foisonné.
Article rédigé par S. ANSART & R. DUYMEDJIAN
C’est dans le contexte de la présente crise économique et financière que le gouvernement français a créé un nouveau statut d’entreprise dont la caractéristique essentielle réside dans des démarches allégées de création et de suivi comptable et fiscal. L’objectif est ainsi de proposer un statut permettant de faciliter l’engagement des individus dans une activité entrepreneuriale alors que la crise engendre à la fois une augmentation du chômage et une diminution de l’offre d’emplois.
Simplifier le statut ne veut pas dire, simplifier la création et surtout pas la commercialisation !
Oui ! S’inscrire est devenu un jeu d’enfant mais à quoi bon s’inscrire si nous n’avons pas en amont préparé notre démarche commerciale ?
La création d’entreprise est un voyage passionnant, vous avez raison.
Mais, sous prétexte que les formalités ont été simplifiées, vous auriez tord de vous y lancer à la légère. Une auto-entreprise se prépare comme une grande... Si l’on veut qu’elle ait une même marge de rentabilité.
Ce code de déontologie se veut être un code des bons usages et de bonne conduite des Auto-entrepreneurs et par extension des entrepreneurs individuels. L’objectif est de valoriser, grâce à une certification, les auto-entrepreneurs exerçant leurs activités de manière professionnelle et régulière.
Cet engagement qualité passe par la maîtrise des trois devoirs fondamentaux de l’auto-entrepreneur qui sont le savoir, le savoir faire et le savoir être.
Il doit avoir les connaissances requises pour exercer la profession de son activité, c’est le savoir.
Il doit être en mesure d’appliquer ses connaissances dans la pratique, c’est le savoir faire.
Il doit suivre et respecter les bons usages commerciaux avec les tiers, c’est le savoir être.
Il s’agit de la loi de modernisation de l’économie n° 2008-776 qui date de 4 Août 2008, qui définit et met en place le statut de l’entrepreneur individuel (EI) ou plus précisément l’auto-entrepreneur. La mise en application du statut d’auto entrepreneur date du 1 janvier 2009.
Pour prétendre à ce statut il faut remplir deux conditions :
• Avoir un chiffre d’affaires (CA) qui est inférieur à 80 000 € HT et cela pour la vente de marchandises
• Avoir un chiffre d’affaires (CA) qui est inférieur à 32 000 € HT et cela pour les prestations de service
L’idée n’est pas d’énumérer le contenu du texte de loi, mais d’apporter un point de vue.
On a beaucoup évoqué la souplesse et la très grande simplicité du régime de l’auto-entrepreneur qui a séduit près de 200.000 personnes depuis sa mise en place début 2009. Mais selon l’activité exercée, ce statut peut également présenter un certain nombre d’inconvénients et de limites, notamment au plan juridique, fiscal et social, sur lesquels il convient d’être vigilent.
Quitter son emploi pour créer sa propre entreprise n'est pas toujours une décision facile à prendre.
Il y a toujours un temps de démarrage plus ou moins long pour se faire connaître, construire un fichier de clients, apprendre son nouveau métier de chef d'entreprise et encaisser les premières factures après les - toujours trop long - délais de règlement.
Nous constatons que les réclamations de la part de clients ou de tiers sont en constante augmentation .
Cette évolution résulte :
- D'une judiciarisation des relations d'affaires,
- De l'impossibilité de connaître précisément à l'avance le montant du préjudice susceptible d'être causé aux victimes ,
- D'une tendance des compagnies d'assurances à mettre en cause tous les intervenants directs et indirects ( sous-traitants ) .
La LME, loi de modernisation de l’économie (Loi n° 2008-776 du 4 août 2008, JO du 5), adoptée cet été, comporte une série de mesures visant à simplifier le quotidien des petits entrepreneurs.
Mettons en exergue quelques points importants. Bien entendu, la mesure phare demeure « le statut de l’auto-entrepreneur ». Celui-ci, selon le secrétaire d’état chargé des PME, Hervé Novelli, devrait permettre de créer entre 400 000 et 600 000 nouvelles entreprises. Une mesure qui semble non seulement très intéressante afin d’augmenter ses revenus ou de tester une idée avant de sauter le pas, mais qui permet aussi de réconcilier les Français avec l’économie. D’un seul coup, la France se place à l’avant-garde de la Création d’Entreprise en Europe.
Les micros entreprises créés depuis le premier janvier 2009 sont confrontées à des difficultés de mise en route : pas d’investissement en publicité ou en communication, aspect commercial quasi inexistant, dévalorisation du statut, etc.
Le code de déontologie de l’auto-entrepreneur a été rédigé pour soutenir ce nouveau statut par le biais d’une reconnaissance professionnelle.
Pourquoi cette démarche de qualité et de certification ?