Il peut être très intéressant et même souvent essentiel pour une PME de limiter les dépenses afin d’assurer sa pérennité. Souvent sous-estimés, les coûts d’impression que rencontrent les entreprises peuvent rapidement être importants et constituent donc un point de départ judicieux lorsque l’on souhaite diminuer ses dépenses. Mais par où commencer ? Voici quelques pistes relativement simples à mettre en place pour adopter des habitudes d’impression économiques (et écologique) !
Nous avons tous un jour été à la recherche d’une pièce détachée de remplacement suite à une défaillance matérielle. Avant l’avènement du web, le consommateur était contraint de se rendre chez certains spécialistes pour trouver une pièce avec une référence bien précise. Une recherche qui demandait du temps pour rechercher, trouver, commander et se faire livrer la pièce convoitée. Il fallait parfois attendre plusieurs semaines pour conclure ce cheminement. Avec le web, les recherches de pièces détachées s’avèrent plus aisées. En effet de nombreux e-commerces spécialistes de la pièce détachée dans de nombreux domaines ont profité de la puissance du web pour développer leur business en ligne.
C’est un secteur qui a toujours été enclin à la modernisation et à l’optimisation de la performance. Le monde agricole a depuis des années su adopter les changements apportés par le numérique. Les entreprises agricoles évoluent avec le numérique et le numérique évolue avec le monde agricole aussi. Cependant, cette évolution soudaine est-elle véritablement bénéfique pour les acteurs du monde agricole ? Eléments de réponse dans cet article.
Le phénomène Legaltech (de l’anglais Legal Technology) a vu le jour aux États-Unis dans les années 2000. D’abord mal accueillies par les juristes et les avocats, en France, les startups juridiques ont eu un peu de mal à s’imposer. Elles ont pourtant fini par transformer le paysage juridique et démocratiser l’accès au droit.
Quand la finance et la technologie se rencontrent, cela donne la Fintech. Pour beaucoup, ce sont deux mondes bien à part, et pourtant... De jeunes pousses se sont lancées dans le concept qui consiste à utiliser les innovations des TIC dans le secteur de la banque, de l’assurance et de manière générale, dans la finance. Rien ne semble arrêter les Fintechs jusqu’à faire trembler les banques, car leurs services financiers semblent mieux répondre aux besoins du public.
On entend parler un peu partout des concepts de dématérialisation du lieu de travail, de communauté d’idées, coworking et autres bureaux partagés. Mais, vous vous demandez « concrètement, qu’est-ce que je peux trouver comme avantage dans ce flou artistique de nouvelles pratiques branchées ? »
Les CRM permettent de répondre aux nouveaux paradigmes de la relation client et de le centraliser dans l’entreprise. Ainsi compris, le rôle du CRM devrait se renforcer et ses multiples applications devenir un atout majeur pour les marques qui seront l'adopter plus largement, explications : L’économie et le marketing ont évolué, les CRM également. Le marketing est passé d’un marketing de masse vers le one-to-one et d’un marketing statique vers une relation en temps réel.
D’un autre côté, les PME, les PMI et les grands groupes travaillent maintenant avec les mêmes outils et notamment avec les même outils CRM. Si les coûts d’acquisition ont chuté avec le "cloud computing", ils offrent désormais un champ d’action plus large avec des applications dédiées à la vente, à l’après-vente, à l’e-marketing et aux community management. En conséquence, plus aucun acteur de la vie économique n’est à l’abri de voir un nouveau concurrent arriver sur son marché avec une offre 30% moins cher accompagnée d'un service client plus adapté aux attentes des consommateurs. L’outil seul ne transforme pas l’organisation.
La principale cause d’échec de l’adoption du CRM n’est pas l’inertie aux changements des utilisateurs mais, plutôt l'incapacité des managements à apporter une dimension plus fédératrice à l’outil que les basiques arguments de rentabilité et d’analyse des activités de chacun. Alors qu’au contraire, les CRM sont intimement liés aux fondamentaux de l’entreprise puisqu’ils concernent directement la relation client, messager des valeurs de l’entreprise et de la marque. Ceci s’inscrit stratégiquement avec la profonde mutation des comportements où les consommateurs, plus informés, plus exigeants, plus volatiles, savent capter les discours surannés de commerciaux. Pour toutes les entreprises, la communication corporate est l’enjeu majeur dans la prochaine décennie en raison d’Internet et du "social media". La relation client s’inscrit dans le vaste champs de la communication corporate.
Donner du sens à la marque vise à apporter des éléments différenciant et exclusifs aux produits. En effet, si la mauvaise qualité est un handicap, la bonne qualité est considérée comme normale surtout dans les services. Même l’innovation longtemps décrite comme le sézame de la réussite commerciale ne reste pas longtemps un avantage concurrentiel ou du moins, une exclusivité. Ces dernières doivent considérer la relations client comme un socle solide, pérenne et exclusif, dont le rôle est d’apporter ce «plus » qui fait la différence. Dans les choix des consommateurs la subjectivité détient une grande part et dans cette part, le rôle de la marque est déterminant.
La perte de confiance dans les marques, et notamment dans celles du secteur bancaire, pousse les grandes enseignes à descendre de leur piédestal et à entamer une logique d'écoute et de dialogue. Toutes les entreprises sont concernées et l'utilisation de Twitter commence à s'imposer comme un outil de communication "ouvert" avec ses clients. La plate-forme de micro-blogging est une fenêtre qui permet de dialoguer avec ceux qui le veulent (soit 2654 abonnés pour le compte de la BNP).
L'exemple de la BNP est, à ce titre, éclairant. La banque a réalisé un "chat" avec Antoine Sire (directeur de la communication) en stream vidéo depuis le compte Twitter. Cette action éphémère a alimenté le buzz. Cohérent avec sa communication TV et avec sa campagne Facebook qui pointe sur son site internet d'échange nommé "parlons vrai". BNP réalise une belle campagne. Comme les médias sociaux et leur capacité à véhiculer de l'information négative et/ou fausse représentent un défi de tous les jours, la BNP fut la première banque française à avoir ouvert un compte sur Twitter. Elle se sert quotidiennement de cette plate-forme pour transmettre "Informations, échanges et coups de cœur du groupe BNP Paribas" mais aussi pour y recevoir des réclamations. Twitter permet aux clients d'exprimer leur ressenti ou leurs problèmes vis à vis de la banque et la marque peut y répondre publiquement et très rapidement. L'accessibilité est la qualité "magique" qui permet à une marque d'améliorer son image, de désamorcer une rumeur, d'expliquer et d'apporter des réponses à des mécontentements qui sont souvent le fait de simples malentendus. À partir de là, comment articuler des réponses cohérentes ? Toutes les marques peuvent exposer leurs activités et leurs produits, mais ce qui est porteur pour une marque, c'est de pouvoir aussi expliquer pourquoi elle existe, quel est le sens de son action. C'est seulement cela qui permet l'attachement à une marque. Si Twitter permet d'apporter des réponses en temps réel, c'est aux marques de profiter des nombreuses occasions offertes par cet outil pour exprimer, à chaque fois que cela est possible, leurs projets d'entreprise. Dans ce cadre, une charte éditoriale subtile est alors nécessaire. La spontanéité se travaille. Cette communication est d'autant plus nécessaire qu'elle s'inscrit dans un dialogue plus vaste, celui des réseaux sociaux dans leur ensemble qui influencent l'internaute.
Selon une étude de PwC menée auprès de 1 200 chefs d'entreprise du monde entier, les chefs d’entreprise accordent autant d’importance à l'innovation – c'est-à-dire le développement de nouveaux produits et services – qu’à l’augmentation de leurs parts de marchés pour servir la croissance. L'innovation, conjuguée au développement de leur activité, devance à présent tous les autres moyens d'expansion, y compris la pénétration de nouveaux marchés, les fusions-acquisitions, les joint-ventures et autres alliances.
Dans un contexte économique difficile, différents instruments financiers destinés aux entreprises innovantes peuvent être combinés et constituer un axe stratégique de développement. Le recours aux financeurs publics, privés et particuliers sont autant de leviers possibles pour renforcer et accroitre sa compétitivité, en particulier pour les sociétés qui effectuent des dépenses de R&D. Quelques pistes pour bénéficier au mieux des différents outils existants.
Qui ne rêve pas de trouver la formule magique qui lui permettra de maîtriser et contrôler son avenir ? L’innovation est une composante incontournable de la formule pour transformer la vision en une réalité concrète. Mais qu’est-ce que l’innovation ?
Nombreux sont ceux qui assimilent l’innovation au produit génial imaginé, conçu et mis sur le marché avant tout le monde. Certes, c’est une partie de la réponse, mais c’est insuffisant. Le mécanisme de l’innovation est à la fois simple et complexe et fait appel à un ensemble de paramètres dont certains sont maîtrisables, d’autre pas.